La secret sauce de nos contributeurs 🤫
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đź’ˇ Les 4 secrets de copywriting de Floriane
Ma séquence de chasse préférée :
- Un bon brise-glace Comme tout bon commercial le plus important selon moi dans le message de chasse est l'accroche. Ici pas de secret, je m'inspire des sales et tente des approches personnalisées ou rigolote pour que le candidat se souvienne de moi / me réponde.
- Ensuite je présente brièvement ma société
- Je présente ensuite le poste, la mission en 1 phrase et surtout la fourchette de salaire.
- Le CTA
J'offre au candidat le choix de prendre un RDV de 10 minutes avec moi selon ses disponibilités avec le lien de mon agenda. Je trouve le timing peu engageant pour le candidat et si le call de 10minutes est concluant des 2 côtés on refait un autre call de 30min.
Je prévois ensuite une relance si je n'ai pas de retours : très courte et qui incite à un retour, même négatif.
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đź’ˇ Les 3 secrets de copywriting de Vanessa
- Analyser sa cible. Je ne démarre jamais mon sourcing sans avoir fait un kick-off avec le Hiring manager, une analyse du marché, du job (comprendre parfaitement le scope et les enjeux/spécificité du poste), un mapping des boîtes cibles,... Tu peux être un pro du storytelling mais cela n’a aucun intérêt si tu ne sais pas ce que tu cherches ou que tu ne cherches pas au bon endroit.
- Personnaliser chaque message. Chaque recruteur a son propre style et nous n’avons pas de template imposé chez Stuart. Cela paraît évident et pourtant les mails génériques envoyés en masse sont encore trop fréquents. Je suis satisfaite quand un candidat me répond “Merci pour la qualité et la précision des contenus envoyés” Nous préférons envoyer peu de messages mais “ultra personnalisés” et ciblés plutôt que des mails automatisés (qualité vs quantité) :)
- Le maximum d’infos et de transparence concernant le job et l’équipe. Nous préparons et envoyons un kit candidat en pièce-jointe dans nos messages de sourcing. Le document regroupe des infos sur Stuart, le Hiring manager, l’équipe, le job, le process de recrutement, les avantages, les locaux. Les candidats adorent !
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đź’ˇ Les 3 secrets de copywriting de RĂ©mi
- Rédiger les messages d'approche avec les managers et itérer avec eux pour optimiser la pertinence du contenu. Par exemple, avec le CTO nous avons travaillé sur différentes versions d'un message d'approche, que l'on teste et ajuste selon les retours du marché. Obtenir une vision métier pour bien t'adresser à ton audience.
- Personnalisation Personnalisation Personnalisation: j'ai un template défini avec les phrases clés qui reviennent dans chaque message mais je personnalise selon l'expérience des profils, la ville où ils habitent, leurs centres d'intérêts, les citations qu'ils mentionnent dans leur profil... J'essaie toujours de trouver plusieurs éléments pour que les profils se disent: "ce message est fait pour moi".
- Relancer et ne pas se limiter au 1er message d'approche. Mon séquençage est généralement: Un premier message envoyé - une relance sous 5 jours - une deuxième relance 7 jours plus tard
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đź’ˇ Les 3 secrets de copywriting de Sara
Lorsque j’envoie un InMail à un candidat, je veille à trois choses :
- Je personnalise au maximum le message d’approche pour bien montrer au candidat que j’ai vu son profil et que je fais le lien entre ses expériences et l’opportunité que je lui propose. Par exemple, je peux citer le nom de quelques-unes de ses boîtes ainsi que le poste qu’il occupe. Parfois, pour certains profils très spécifiques, je peux aussi mentionner les projets sur lesquels il a travaillé. Il est très important que le candidat se sente valorisé. Cela fait partie de la philosophie “candidate care” que j’essaie d’avoir.
- J’utilise aussi des emojis dans mon message d’approche. Avec parcimonie, certes, mais cela permet de rendre le contenu plus sympathique à parcourir, et aussi plus intelligible - notamment pour illustrer les missions du poste. Là encore, c’est une technique qui peut paraître assez basique, mais c’est un élément qui peut être différenciant - et la différence, c’est ce qui compte pour attirer l’attention des meilleurs candidats.
- Enfin, je n’oublie pas de me programmer une session de relance, en ciblant notamment les candidats qui ont indiqué être à l’écoute de nouvelles opportunités. En général, je prévois de les relancer après trois jours ouvrés. C’est une bonne pratique que devrait avoir tout recruteur car j’ai reçu énormément de retours positifs après des relances, et même des personnes recrutées grâce à cela et qui ne l’auraient pas été si je ne l’avais pas fait !
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đź’ˇ Les 4 secrets de copywriting de Cyril
- Avant d'écrire, mon conseil c'est de choisir le bon canal de communication. Le meilleur message n'est rien, s'il n'est pas lu ou écouté.
- Ensuite, je dirais d'arrêter de vouloir être fun / cool / jeune / à la mode. C'est une chose dans laquelle je me suis enfermé en passant en startup et qui marche peu. A moins que ce soit extrêmement maitrisé.
L'exemple le plus parlant est de repasser au vouvoiement en message d'approche. Ca peut parait idiot, mais j'ai multiplié par 2 mon taux d'ouverture et par 3 mon taux de réponse.
- Personnalisation à outrance. Ce n'est jamais du temps perdu même si cela semble ne pas aller assez vite. L'impact est just phénoménal. Des gens que j'ai relancé plusieurs fois mais qui ne m'avait jamais répondu se rappellent de moi alors qu'on ne s'est jamais parlé de vive voix !
- La relance : trop négligée également. Le taux de réponse augmente drastiquement, surtout après la première relance. Ma séquence est composée de 4 temps : message d'approche, message de relance, message de relance light, message de closing (relance avec "je ne vous embête plus pendant 3 mois")
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